Il crut encore au XXe siècle par l'arrivée de juifs européens qui fuyaient la révolution russe, puis la menace nazie. Nul ne peut se servir de la religion pour troubler l'ordre social, nuire à la santé des citoyens et entraver l'application du système d'enseignement de l'État. Il est aussi possible de jouer avec la grille de 25 cases. La Chine n'a donc plus de religions d'État ni officielles, et persécute les religions[21]. En Chine, le terme sert à désigner des écoles transmettant de maître à disciple des techniques d'ascèse, des rituels, des enseignements religieux. Le gouvernement de la République populaire de Chine refuse de reconnaître le Vatican et pose deux conditions préalables à l'établissement de relations diplomatiques. Copyright © 2000-2016 sensagent : Encyclopédie en ligne, Thesaurus, dictionnaire de définitions et plus. Les religions sont vivement opprimées, et on peut observer une dissension au sein du catholicisme de Chine entre ceux qui obéissent à Rome et ceux qui obéissent à l’Église patriotique. Quelle charte des valeurs ? En Chine populaire, seules cinq religions ont un statut officiel[5] : taoisme, bouddhisme, islam, protestantisme, catholicisme. Dans l'ordre chronologique[50], il s'agit de : Recensement non exhaustif des principales cathédrales de Chine[51]. Un siècle plus tard, An shi gao, moine parthe, y vint pour entamer un travail de traduction systématique des sûtras, en commençant par le Sūtra en quarante-deux articles que la légende prétend rapporté d'Afghani… Bien qu’il existe une transcription phonétique de “islam”, il est généralement nommé “religion des Hui” (huijiao 回教) ; les mosquées se nomment “temple de pureté et de vérité” (qingzhensi 清真寺). Le bouddhisme gagna peu à peu du terrain, mais resta longtemps considéré comme une religion étrangère. Ses évêques clandestins ne peuvent prendre le risque de se réunir dans une instance de concertation, et n'ont donc pas de « conférence épiscopale »[8]. Des communautés juives arrivées essentiellement d'Asie centrale ont existé, attestées par des documents chinois ou les récits de voyageurs arabes. Ils y obtinrent des conversions, mais des querelles internes aux relents nationalistes firent que le christianisme fut bientôt déclaré « secte dangereuse ». Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Seules nous sont connues, à partir de la dynastie Han, les sectes qui ont pris une certaine importance. Les jésuites entreprirent une évangélisation par le haut en s’intégrant au groupe des lettrés. La notion de Tao (dao 道) s’est d’abord fait connaitre en Occident par des écrits datant du milieu du premier millénaire av. Cependant le pape Benoît XVI, qui refuse cette division[1], reconnaît régulièrement les nominations des évêques de l’Église dite officielle comme l'affirme Joseph Zen[9], tout en ne niant pas son autorité sur l’Église dite clandestine. En 1986, on estimait le nombre de Musulmans en Chine à approximativement 20 millions, plus particulièrement établis dans les régions du nord et de l'ouest. Le bouddhisme s'adaptera en présentant la pratique religieuse comme bénéficiant non seulement à l'individu, mais aussi à ses parents et ancêtres, ainsi qu'à la société en général. Ce site s'adresse à des gens de confessions diverses qui cherchent à comprendre l'islam et les musulmans. Jusqu’en 1978, tout en réprimant toute tentative d’indépendance des régions frontalières, le PCC a fait preuve de plus de tolérance vis à vis de l’islam que des autres religions, ne cherchant pas à l’éradiquer totalement, afin de ne pas encourager le séparatisme et de favoriser ses relations diplomatiques avec les pays musulmans. Profondément transformé, le culte de la Terre s'est reporté sur le Dieu du sol, parfois mentionné sur des stèles sous le nom de l'ancienne divinité Houtu (后土). Le statut du diocèse de Hong Kong est très particulier. D'autres sources estiment qu'il y aurait entre 12 et 14 millions de Chinois catholiques[13]. Hormis les cinq grandes religions citées ci-dessus, la Chine a connu une grande quantité de cultes locaux ou importés. Les Hui du Sud, familiers du confucianisme, furent souvent choisis comme fonctionnaires par le gouvernement Yuan qui cherchait à promouvoir les non Hans. Elle introduisit la science occidentale, les mathématiques et l'astronomie. Le nombre d’évêques dans cette situation serait important[46], mais il reste difficile à vérifier dans la mesure où il est tenu secret par le Vatican, qui a cependant reconnu officiellement l'existence de cette pratique[47]. Tao, la « voie », est un terme qui ne préjuge pas de l'orientation idéologique ; les écoles dites taoïstes, particulièrement de petite taille, se sont toujours montrées des matrices idéales d'évolution religieuse : bien des courants contemporains, que l'on serait tenté de rattacher au néo-confucianisme ou au bouddhisme au vu de leurs doctrines et pratiques, tirent en fait leur origine d'écoles taoïstes. Le Vatican attend des signes positifs de Beijing Déc 21, 2016 | Europe , MONDE , Religions Le plus célèbre, le kouchanais Kumarajiva, obtint le patronage des Qin postérieurs ; ses traductions font encore autorité de nos jours. Lors de la révolution culturelle lancée en 1966, la religion chrétienne a même été interdite en Chine avant d'être de nouveau autorisée à partir de 1978. ○ Boggle. La Chine semble déterminée à donner des gages de bonne volonté au Vatican. Les principales religions pratiquées sont le taoïsme et le bouddhisme (représentés par divers courants) ainsi que la religion traditionnelle qui emprunte aux deux précédentes et aux traditions locales tout en intégrant le culte des ancêtres. En 1982, l'article 36 de la Constitution stipule que « Les groupements religieux et les affaires religieuses ne sont assujettis à aucune domination étrangère » autorisant ainsi autorisant l'Église dite « patriotique de Chine », mais interdisant l'Église souterraine. Son entourage décida de le tuer à l’aide d’un maillet: le zhongkui. La métaphysique et le panthéon connurent un nouveau développement. Leurs religions sont souvent influencées par les grands ensembles avec lesquelles elles voisinent (religion chinoise, bouddhisme, islam..). La plupart des définitions du français sont proposées par SenseGates et comportent un approfondissement avec Littré et plusieurs auteurs techniques spécialisés. Les plus anciennes traces de christianisme dans la civilisation chinoise est la présence de chrétiens nestoriens du VIIe siècle, attestée par une stèle retrouvée en 1625 à Chang'an (Xi'an), dite la « stèle nestorienne ». Il est avec le taoïsme et le bouddhisme l'une des trois grandes écoles de pensée que reconnait la tradition chinoise (san jiao 三教). Les jeux de lettre français sont : Tous les missionnaires du pays sont chassés entre 1949 et 1953. Les catégories envisagées par les enquêteurs ne reflètent pas toujours la réalité du terrain. L'Église dite « patriotique de Chine », « officielle » ou « Association patriotique des catholiques chinois » est une église nationale créée en 1957, soumise à la juridiction nationale du gouvernement chinois qui jusqu'à septembre 2018 refusait de reconnaître une autorité étrangère, celle du Saint-Siège, en nommant ses évêques sans demander l'avis du Saint-Siège. Les cultes chinois sont en majorité polythéistes, panthéistes ou non-théistes, et intègrent les concepts naturalistes traditionnels : alternance du Yin et du Yang et rôle du souffle dans l’univers, croyance à l'existence de périodes fastes et néfastes déterminées selon le calendrier et d'une énergie propre à certains lieux (terres d'immortalité, feng shui). Le pays comptait alors trois millions de pratiquants catholiques, concurrencés par les missions protestantes issues souvent de pays anglophones et disposant de fonds financiers plus importants. D'un point de vue structurel, l’avènement de la République populaire de Chine avec son gouvernement communiste qui considérait la religion comme « opium du peuple » va mettre en place une politique de persécution systématique des religions ː déportation dans des camps, emprisonnement et parfois condamnations à mort. L’arrivée et l’expansion de l’islam, en Chine, et coup d’œil sur les principales mosquées qui y furent construites à cette époque., Quand et comment l’islam est apparu en Chine. Historiquement, l'Église catholique en Chine se développa réellement à partir des premières missions jésuites au XVIe siècle et fut autorisée jusqu'à l’avènement en 1949 de la République populaire de Chine qui interdit toute ingérence étrangère dans le fonctionnement des groupes religieux[2]. La première église chinoise de France, Notre-Dame de Chine, a été consacrée dimanche à Paris par l'archevêque de la capitale, Mgr André Vingt-Trois, au cours d'une cérémonie qui a rassemblé quelque 1.300 personnes au total dont plusieurs centaines de Chinois, selon les organisateurs. « D’autres, surtout soucieux du bien des fidèles et regardant vers l’avenir, ont consenti à recevoir l’ordination épiscopale sans mandat pontifical, mais, par la suite, ils ont demandé de pouvoir être accueillis dans la communion avec le Successeur de Pierre et avec leurs autres Frères dans l’Épiscopat. Le fait qu’il y ait des catholiques qui reconnaissent le pape, et d’autres qui ne le reconnaissent pas tend à montrer qu’il y a deux Églises catholiques en Chine. Cependant certains de ses évêques affirmaient secrètement leur fidélité au Saint-Siège qui reconnaissait régulièrement ces nominations[9]. Fixer la signification de chaque méta-donnée (multilingue). Le roi Ming de la dynastie Han fut à l'origine du temple du Cheval blanc, premier centre chinois d'études bouddhiques établi en 68. Elles comprennent dans leurs pratiques des ascèses individuelles et le monachisme, alors que tous les aspects de la religion traditionnelle sont intimement liés à la vie sociale, économique et familiale. Elle introduisit la science occidentale, les mathématiques et l'astronomie. Le syncrétisme et le mélange sont courants, rendant les contours des ensembles religieux flous ; on a souvent l’impression de se trouver face à une constellation de philosophies et de pratiques plutôt qu'à des confessions. Les pavillons noirs sèment la terreur. Saint François Xavier fut à l'origine de la première mission jésuite vers la Chine en 1552.Il mourut cependant cette année-là sur l'île de Sancian, sans avoir atteint le continent.En 1582, la Compagnie de Jésus tenta de nouveau de gagner la Chine, avec succès cette fois. Une fenêtre (pop-into) d'information (contenu principal de Sensagent) est invoquée un double-clic sur n'importe quel mot de votre page web. Moins de deux semaines après avoir permis à Mgr Pierre Lin Jiashan d’être officiellement installé à la tête du diocèse de Fuzhou, dont il est l’évêque depuis 2010 aux yeux du Saint-Siège, le gouvernement chinois a officiellement reconnu Mgr Pierre Li Huiyuan[38] comme évêque de Fengxiang – charge qu’il occupe depuis 2017. Tous droits réservés. Benoît XVI est vivement préoccupé de la situation en 2010, à cause de l'ordination d'un évêque, le 20 novembre 2010 de l'Association patriotique sans le consentement de Rome[40], dans le diocèse de Chengde (Hebei). En signe de bonne volonté, l’église catholique officielle de Chine organise cette semaine sa première réunion depuis six ans. Le service web Alexandria est motorisé par Memodata pour faciliter les recherches sur Ebay. Dans les textes pré-impériaux, c'est du mandat conféré par le Ciel que le roi tire son pouvoir. Comme toutes les religions étrangères, le bouddhisme a pénétré en Chine par la route de la soie. Des messes en latin et en mandarin Mais la principale ethnie musulmane est celle des Huis, de langue chinoise et physiquement indiscernable des Han. Aucun organisme d'État, aucun groupement social, aucun individu ne peut contraindre un citoyen à épouser une religion ou à ne pas la pratiquer, ni adopter une attitude discriminatoire à l'égard du citoyen croyant ou du citoyen incroyant. Les groupements religieux et les affaires religieuses ne sont assujettis à aucune domination étrangère. Chaque crise est l'occasion d'accuser dans la population les « diables de chrétiens ». Certains noms de famille chinois témoignent d'un possible ancêtre musulman : Ma (馬), de « Mahomet » ou « Fatima », Hu (胡), de « Hussein ». Selon l'Agence d'information des missions étrangères de Paris, il y avait en République populaire de Chine en 2010 quelque 5 710 000 catholiques[12]. Les restes du plus vieil hominidé découvert en Chine sont datés de 1,9 million d'années. Obtenir des informations en XML pour filtrer le meilleur contenu. À partir du XIXe siècle, de nombreux mouvements syncrétistes sont nés. Indexer des images et définir des méta-données. L’Association patriotique des catholiques est chargée de faire le lien avec les organismes gouvernementaux et d'assurer le respect de la ligne politique officielle à l'intérieur de l'Église. Dans l'univers syncrétique de la religion chinoise, il n'existe pas de solution de continuité entre les authentiques écoles bouddhistes et la religion populaire. Tout récemment, il a aussi été décrété d’après Bitter Winter que tout rite ou coutume religieux était interdits lors des funérailles. Le régime va très vite s’organiser (entre 1949 et 1952, les missions sont surtaxées et les missionnaires rapidement expulsés). Il n'existe aucun terme pour désigner l'ensemble des croyances et pratiques traditionnelles, ce qui contribue à entretenir la confusion quant à ce que l'on entend par « religion chinoise ». Le monothéisme (principalement islam et christianisme), qui n’atteint la Chine qu’au VIIe siècle, occupe une place mineure. Néanmoins, la première mosquée rapportée par la tradition aurait été construite par Saad Lebid Alhabshi dès les premiers temps de l'islam à Quanzhou dans le Fujian sous le nom de Qilinsi, « Temple du qilin ». Malgré cette interdiction du gouvernement chinois, quelques millions de Chinois restent fidèles au Saint-Siège et forment une Église souterraine ou « clandestine ». Ceci est la première mention du zhongkui dans un mythe de la religion populaire. On y trouve des traces de totémisme et l'évocation d'une dualité terre/eaux. Franciscus Verellen Société et religion dans la Chine médiévale Le regard de Du Guangting (850-933) sur son époque La littérature taoïste narrative, avec son insistance sur la religion comme phénomène de la vie quotidienne dans des contextes sociaux variés, constitue une source précieuse pour l'histoire sociale et l'anthropologie historique de la Chine traditionnelle. Le fondateur de l’Église catholique dans le pays a été ainsi le premier intermédiaire culturel entre Chine et Europe. Les nombreuses combinaisons mixtes entre les deux sont regroupées sous l'appellation de « bouddhisme populaire ». Le christianisme prêché alors ne se préoccupait pas de questions d'inculturation. LA fenêtre fournit des explications et des traductions contextuelles, c'est-à-dire sans obliger votre visiteur à quitter votre page web ! Les estimations du nombre de catholiques « patriotiques » et « clandestins » sont très variables étant donné que la majeure partie sont en même temps secrètement dans les deux églises, rendant complexes toutes mesures statistiques. Église catholique en Chine (en chinois simplifié : « 天主教会在中国, Tiānzhǔ Jiào huì zài zhōngguó » littéralement « religion du Seigneur des cieux en Chine » ) peut désigner, soit la communauté locale catholique dépendant du Saint-Siège et donc interdite en république populaire de Chine, soit l’organisme institutionnel dépendant du gouvernement de la république populaire de Chine. Le célibat monastique, inconnu jusque-là, fut souvent critiqué par les confucéens comme gaspillage de ressources humaines. 1995 : Le Bureau des affaires religieuses commence la publication de La religion en Chine. L’un des musulmans chinois les plus célèbres est le navigateur Zheng He. Le Congrès national des représentants catholiques élit les représentants de l’« Association patriotique catholique chinoise » et de la « Conférence des évêques de Chine ». Ainsi pour le pape il n’y a qu’une Église de Chine, cependant le caractère officiel de l’Église change dans la pratique beaucoup de choses pour les catholiques selon qu’ils appartiennent ou pas à l’Église officielle. ○ jokers, mots-croisés il est. L'encyclopédie française bénéficie de la licence Wikipedia (GNU). Une première ordination a lieu en novembre 2010, une seconde prévue en juin 2011 est temporairement reportée grâce à la pression des fidèles et aux protestations du secrétaire de la congrégation pour l'évangélisation des peuples, le Chinois Savio Hon Tai-Fai[26]. L’islam. La Chine a vu se développer une religion polythéiste dont les dieux, d'origine locale ou importés, sont considérés comme des humains déifiés après leur mort, même quand manifestement leur biographie terrestre est une invention ultérieure au culte. Nées dans le fonds religieux chinois, elles s'en nourrissent et y réinjectent des pratiques, des concepts et des divinités. Ils sont majoritaires dans les régions autonomes du Ningxia et du Xinjiang, où ils appartiennent essentiellement à deux minorités nationales de langue turque : Ouïghours et Kazakhs. Comme toutes les religions étrangères, le bouddhisme a pénétré en Chine par la route de la soie. Un bon exemple en est Avalokiteshvara-Guan Yin. Certains facteurs rendent les statistiques sur l’appartenance religieuse difficilement interprétables : Contrairement aux religions abrahamiques, l’adhésion exclusive à un culte donné n’est pas exigée dans les religions prédominant chez les Chinois : bouddhisme, taoisme et religion traditionnelle chinoise. La plus grande part de ses pratiquants habite les régions de l'Ouest. Il s'agit en 3 minutes de trouver le plus grand nombre de mots possibles de trois lettres et plus dans une grille de 16 lettres. En 1601, l'un des jésuites installés en Asie, Matteo Ricci, fut autorisé à prendre résidence à Pékin. Maintenant, ils peuvent de nouveau accomplir leurs pratiques religieuses. Le fait religieux dans le monde chinois se caractérise par le pluralisme, favorisé par l’attitude de l’État : celui-ci exerce depuis le début de l’empire (IIIe siècle av. Tous les missionnaires du pays sont chassés entre 1949 et 1953, certains sont emprisonnés ou trouvent la mort. Ceux-là ont dû partir lorsque la dynastie a été renversée. Ils ont pu néanmoins laisser des traces dans les religions de la Chine contemporaine. Il est important de souligner que ceci est la liste des diocèses de l'Église patriotique de Chine qui ne sont pas les mêmes que ceux mis en place par le Saint-Siège avant la période maoïste. Ils les présentaient comme des sages et des inventeurs de techniques et d'institutions. La religion chinoise est considérée comme un système cohérent et une nature englobante (Goossaert, 2004). Certains rites sont qualifiés de « confucéens » du fait qu'ils reflètent les structures sociales et politiques, très influencées par le confucianisme : le culte des ancêtres, qui pourtant précède largement Confucius et est pratiqué par tous les Chinois, quelle que soit leur affiliation religieuse ou idéologique ; les cérémonies religieuses, souvent en l'honneur du Ciel et de la Terre, que l'empereur et les fonctionnaires se devaient d'accomplir pour assurer la bonne marche des choses, rites « professionnels » qui font partie de l'ensemble des pratiques religieuses sans constituer une confession à part, tout comme les temples de Confucius.